La période de Bowie que j'ai le plus de plaisir à écouter est une période pourtant relativement décriée: celle des années 80, certes moins créative, moins subtile, moins touchante que celle des années 70, mais dont j'aime l'énergie sauvage, la sorte de naïveté adolescente. On daube d'ailleurs pas mal, en général, sur les arrangements des années 80, mais je les aime de plus en plus - et Roxy Music par exemple brille de plus en plus fort dans mon panthéon personnel.